La guerre la plus dure? C’est contre soi-même car il faut finir par se désarmer. J’ai mené cette guerre terrible; je suis maintenant désarmé: du désir d’avoir raison, de me justifier en chargeant les autres de ma crispation sur mes idées, mes biens de la tension d’être en alerte.
Qui n’a plus rien n’a plus peur! Dépossédé, on s’ouvre au Cœur de Jésus Christ. Et c’est soudain la nouveauté absolue: l’ouverture à autrui, pour Lui.
Alors j’accueille et je donne vraiment: je partage. J’ai renoncé au comparatif. Ce que l’on me présente de bon, je l’accepte volontiers, souvent avec joie. Fini le mauvais passé. Jésus, le Dieu-Homme, offre un temps neuf où tout devient possible ensemble.